- EAN13
- 9782850769924
- ISBN
- 978-2-85076-992-4
- Éditeur
- Dervy
- Date de publication
- 02/04/1999
- Collection
- A VIVE VOIX
- Nombre de pages
- 140
- Dimensions
- 21,2 x 13,7 x 1,2 cm
- Poids
- 190 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La sincérité du mensonge
[dialogue avec Boris Cyrulnik, Paul Lombard, André Bercoff, Christian Delorme]
De Marie De solemne
Dervy
A Vive Voix
Offres
[dialogue avec Boris Cyrulnik, Paul Lombard, André Bercoff, Christian Delorme
Si nous n'aimons pas que l'on mente, sommes-nous pour autant prêts à entendre la vérité ? Rien n'est moins sûr... Indissociable de l'histoire de l'homme, le mensonge obtient indiscutablement le tableau d'honneur de l'ambiguïté. Il a de multiples visages, et d'innombrables motivations. Qu'il soit considéré comme un grave péché, un simple défaut, un légitime moyen de protection ou même le joyeux exercice d'une vive imagination, il est néanmoins indéniable que nous entretenons avec le mensonge une relation troublante. Dès lors, plutôt que juger de la légitimité ou non du mensonge, ne serait-il pas plus honnête d'admettre humblement que nous ne pouvons pas nous en passer, et alors d'essayer de comprendre pourquoi ? Le mensonge est-il le propre de l'homme ? A qui essaie-t-on réellement de mentir : aux autres ou à soi-même ? La vie en société serait-elle possible sans le mensonge ? Finalement mentir ne serait-il pas la seule parade que trouva l'homme pour supporter sa douloureuse inaptitude à la vérité ?
Si nous n'aimons pas que l'on mente, sommes-nous pour autant prêts à entendre la vérité ? Rien n'est moins sûr... Indissociable de l'histoire de l'homme, le mensonge obtient indiscutablement le tableau d'honneur de l'ambiguïté. Il a de multiples visages, et d'innombrables motivations. Qu'il soit considéré comme un grave péché, un simple défaut, un légitime moyen de protection ou même le joyeux exercice d'une vive imagination, il est néanmoins indéniable que nous entretenons avec le mensonge une relation troublante. Dès lors, plutôt que juger de la légitimité ou non du mensonge, ne serait-il pas plus honnête d'admettre humblement que nous ne pouvons pas nous en passer, et alors d'essayer de comprendre pourquoi ? Le mensonge est-il le propre de l'homme ? A qui essaie-t-on réellement de mentir : aux autres ou à soi-même ? La vie en société serait-elle possible sans le mensonge ? Finalement mentir ne serait-il pas la seule parade que trouva l'homme pour supporter sa douloureuse inaptitude à la vérité ?
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