- EAN13
- 9782251010496
- ISBN
- 978-2-251-01049-6
- Éditeur
- Les Belles Lettres
- Date de publication
- 1955
- Collection
- Collection des universités de France Série latine
- Séries
- Des termes extrêmes des biens et des maux. (1)
- Nombre de pages
- 276
- Dimensions
- 19,3 x 12,5 x 1,7 cm
- Poids
- 310 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 875.01
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
1, Livres I-II - Des termes extrêmes des biens et des maux. Tome I: Livres I-II
Livres I-II.
De Cicéron
Édité par Jules MARTHA, Carlos Lévy
Les Belles Lettres
Collection des universités de France Série latine
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Extrait de l'introduction:
"C'est le problème moral qui fait l'objet du De finibus, tel qu'il se trouve posé après Aristote, c'est-à-dire ramené à la question du souverain bien. Il s'agit de savoir où se porte la nature humaine livrée à elle-même, à quoi elle tend, ce pourquoi elle agit, et de déterminer, d'après cette observation, le bien capable d'assurer à l'homme la plénitude d'une vie heureuse. C'est à quoi toutes les écoles philosophiques de la Grèce se sont évertuées. Toutes ont prétendu découvrir un bien qui pût être, à lui-seul, la condition du bonheur, un bien désirable pour lui-même, ayant une valeur absolue, dernier terme où vînt la série de tous les autres biens, tel que celui qui le posséderait n'aurait rien à désirer au-delà, bref un bien qui fût une fin en soi, la fin ultime, tout se rapportant à lui et lui ne se rapportant à rien. (...)" J.M.
"C'est le problème moral qui fait l'objet du De finibus, tel qu'il se trouve posé après Aristote, c'est-à-dire ramené à la question du souverain bien. Il s'agit de savoir où se porte la nature humaine livrée à elle-même, à quoi elle tend, ce pourquoi elle agit, et de déterminer, d'après cette observation, le bien capable d'assurer à l'homme la plénitude d'une vie heureuse. C'est à quoi toutes les écoles philosophiques de la Grèce se sont évertuées. Toutes ont prétendu découvrir un bien qui pût être, à lui-seul, la condition du bonheur, un bien désirable pour lui-même, ayant une valeur absolue, dernier terme où vînt la série de tous les autres biens, tel que celui qui le posséderait n'aurait rien à désirer au-delà, bref un bien qui fût une fin en soi, la fin ultime, tout se rapportant à lui et lui ne se rapportant à rien. (...)" J.M.
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